Daarom wil ik jullie graag vragen de tijd te nemen om even na te denken.
Wanneer we de tijd nemen na te denken over onze keuzes zullen we onszelf beter leren kennen.
Bovendien zal je merken dat we de kans hebben om iets te veranderen al is het nog maar voor onszelf.
Nu kunnen we de eerste tekenen van klimaatverandering reeds ervaren in ons dagelijks leven.
We horen van bijensterfte, overstromingen, droogte, bosbranden, de gevaren van kernenergie, het mogelijke gevaar van genetisch gemanipuleerde gewassen...
Welke rol willen wij spelen in dit alles? Weet jij graag wat je eet, welke toekomst kies jij?
Op dit moment is er een probleem met de bijen, ze sterven massaal uit.
Of de oorzaak bij ons verkeersnet ligt, of bij het gebruik van pesticiden, het gebruik van neonicotinen en zaden die voorbehandeld zijn met insectiden zodat de nectar vanzelf giftig is voor insecten, of het bij ggo's ligt of er ook nog andere dingen meespelen, dat is volgens mij van ondergeschikt belang.
Wanneer we aan het voortbestaan van de bijen kunnen bijdragen moeten we onze negatieve impact zo veel mogelijk beperken, denk ik.
Ik nodig jullie uit hier aan mee te werken, te kiezen voor biologische producten, zelf geen gebruik te maken van zaden van Bayer of producten van Bayer of Monsanto, en je kan zelf misschien ook ideeën hebben wat jij kan doen.
Ook is er een petitie die we kunnen tekenen: http://www.ogm-abeille.org/?lang=en
Meer info: http://www.biomijnnatuur.be/
http://nl.wikipedia.org/wiki/Honingbij#Evolutie
OGM : l’abeille dans la tourmente
PAR ANNE FURET (UNAF) & ERIC MEUNIER (INF’OGM)
mercredi 30 novembre 2011
Interdiction de commercialisation du miel contenant du pollen de maïs GM, rachat par Monsanto de la société Beelogics, débat au HCB sur la coexistence, difficile notamment du fait des abeilles : trois éléments récents mettent à la une de l’actualité les liens entre OGM et apiculture.
L’utilisation des OGM est, dans 99% des cas, associée à l’usage d’un pesticide et à un modèle d’agriculture non favorable au bien-être de l’abeille. En effet, actuellement, la grande majorité des plantes génétiquement modifiées (PGM) cultivées sont modifiées pour tolérer un herbicide (exemple du soja RR en Amérique du Sud). L’apparition de ces plantes a facilité les pratiques culturales des agriculteurs en simplifiant le désherbage : le Round up (glyphosate) est devenu le seul herbicide épandu, même après germination, détruisant la flore locale et participant au développement de zones de monocultures, qui réduisent la diversité des sources de nectar et de pollen pour les abeilles. Selon Lucas Martinez, président de la Fédération des apiculteurs argentins, certains apiculteurs auraient été contraints de déplacer leurs ruches à plus de 400 km des cultures de soja.
Pour certains scientifiques, les analyses conduites à l’heure actuelle sont incomplètes ou adoptent une approche erronée. L’avis de 2009 du Comité Ethique, Economique et Social (CEES) du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) sur le maïs Mon810, produisant un insecticide contre la pyrale, est assez parlant quant aux études d’impacts sur les abeilles. Il souligne en effet« l’absence de données relatives aux éventuels effets sub-létaux du maïs Mon810 sur les abeilles et les animaux d’élevage puisque les études en laboratoire et en champs ne disent rien de ces effets très difficiles à mesurer, surtout en conditions naturelles ». Il note que « le Comité scientifique du HCB, tout en énonçant qu’aucun effet sur les abeilles n’a pu être démontré à ce jour, observe aussi le peu d’études relatives aux effets sub-létaux du Mon810 sur des abeilles (études qui devraient être réalisées sur des ruches en conditions normales d’exploitation) » [1]. Mais ces lacunes, si importantes soient-elles, ne sont pas les seules critiques à adresser aux études d’impacts.
Certains scientifiques, à l’image de Lilian Ceballos, écologue indépendant, soulignent que les analyses de toxicologie sont effectuées avec des protéines Bt non issues de plantes GM exprimant ces protéines. En d’autres termes, les analyses ne sont pas faites avec les protéines Bt auxquelles les abeilles seront confrontées [2].
Il est également à noter que les abeilles d’hiver ou d’été n’ont pas le même comportement. Le pollen de maïs, ramené dans la colonie en été, sera consommé par les larves qui donneront les abeilles d’hiver. Dans son article, l’équipe du Pr. Crailsheim montrait en 1993 que ces abeilles métabolisent le pollen différemment des abeilles d’été [3]. Et comme les effets des PGM ne sont pas testés sur les abeilles d’hiver, on comprend que soulever la question des impacts ne pourra obtenir de réponse.
Ces possibles effets sur les abeilles ont également été évoqués lors de l’observation de ce qui est appelé le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles depuis le début des années 2000. Mais il n’existe à ce jour aucune étude scientifique faisant un lien direct entre ce syndrome et les cultures de PGM. Cela ne signifie pas pour autant que l’hypothèse soit invalidée. Des scientifiques se sont intéressés à la question mais n’ont pu mener leur travail au bout, par manque de financement. Le Pr. Kaatz, de l’Université de Halle (Allemagne), responsable de l’étude, explique que « ceux disposant de l’argent ne sont pas intéressés par cette sorte de recherche et ceux intéressés n’ont pas l’argent » [6].
lire plus: source: http://www.ogm-abeille.org/spip.php?article6&lang=fr
Les OGM, nocifs ? Une absence criante de données...
Par ailleurs, quels sont les impacts des PGM insecticides (appelées couramment Plantes Bt) sur les colonies d’abeilles ? Les études citées ci-dessous ne sont qu’une partie des sources, mais elles montrent que beaucoup de questions restent aujourd’hui sans réponse, et les analyses conduites avant autorisation commerciale des PGM ne permettent pas d’écarter l’existence de certains risques.Pour certains scientifiques, les analyses conduites à l’heure actuelle sont incomplètes ou adoptent une approche erronée. L’avis de 2009 du Comité Ethique, Economique et Social (CEES) du Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) sur le maïs Mon810, produisant un insecticide contre la pyrale, est assez parlant quant aux études d’impacts sur les abeilles. Il souligne en effet« l’absence de données relatives aux éventuels effets sub-létaux du maïs Mon810 sur les abeilles et les animaux d’élevage puisque les études en laboratoire et en champs ne disent rien de ces effets très difficiles à mesurer, surtout en conditions naturelles ». Il note que « le Comité scientifique du HCB, tout en énonçant qu’aucun effet sur les abeilles n’a pu être démontré à ce jour, observe aussi le peu d’études relatives aux effets sub-létaux du Mon810 sur des abeilles (études qui devraient être réalisées sur des ruches en conditions normales d’exploitation) » [1]. Mais ces lacunes, si importantes soient-elles, ne sont pas les seules critiques à adresser aux études d’impacts.
Certains scientifiques, à l’image de Lilian Ceballos, écologue indépendant, soulignent que les analyses de toxicologie sont effectuées avec des protéines Bt non issues de plantes GM exprimant ces protéines. En d’autres termes, les analyses ne sont pas faites avec les protéines Bt auxquelles les abeilles seront confrontées [2].
Il est également à noter que les abeilles d’hiver ou d’été n’ont pas le même comportement. Le pollen de maïs, ramené dans la colonie en été, sera consommé par les larves qui donneront les abeilles d’hiver. Dans son article, l’équipe du Pr. Crailsheim montrait en 1993 que ces abeilles métabolisent le pollen différemment des abeilles d’été [3]. Et comme les effets des PGM ne sont pas testés sur les abeilles d’hiver, on comprend que soulever la question des impacts ne pourra obtenir de réponse.
... mais des signes de perturbation de comportement
Un effet sur le comportement a d’ores et déjà été observé par l’équipe du Pr. Ramirez-Romero qui a décrit une diminution des activités de butinage après exposition au maïs Mon810 [4]. Le Pr. Picard-Nicou a montré également, il y a quinze ans, que les abeilles domestiques pouvaient être désorientées par des changements de la qualité des protéines dans les colzas transgéniques [5]. Pour Lilian Ceballos, ce travail « montre que des modifications non intentionnelles peuvent provenir de la relative imprécision de la modification génétique et que ces modifications non intentionnelles peuvent jouer un rôle biologique majeur».Ces possibles effets sur les abeilles ont également été évoqués lors de l’observation de ce qui est appelé le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles depuis le début des années 2000. Mais il n’existe à ce jour aucune étude scientifique faisant un lien direct entre ce syndrome et les cultures de PGM. Cela ne signifie pas pour autant que l’hypothèse soit invalidée. Des scientifiques se sont intéressés à la question mais n’ont pu mener leur travail au bout, par manque de financement. Le Pr. Kaatz, de l’Université de Halle (Allemagne), responsable de l’étude, explique que « ceux disposant de l’argent ne sont pas intéressés par cette sorte de recherche et ceux intéressés n’ont pas l’argent » [6].
lire plus: source: http://www.ogm-abeille.org/spip.php?article6&lang=fr
http://www.ogm-abeille.org/spip.php?article10
Quel est le lien entre les OGM et les pesticides ?
Les OGM sont, à 99,9% [1]. :
des plantes qui produisent une toxine insecticide dont ils sont gorgés, ou bien
des plantes qui résistent en le stockant dans ses tissus, à un herbicide.
Donc, plus d’OGM, c’est plus de pesticides !
Many bee-keepers have turned to high-fructose corn syrup to feed their bees. High-fructose corn syrup is made from Monsanto's genetically engineered corn and that corn is treated with Bayer's neonicotinoid insecticides.
BeantwoordenVerwijderenBron: http://capwiz.com/grassrootsnetroots/issues/alert/?alertid=22033501&fb_source=message